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Ces notes ne sont pas destinées à éviter au lecteur la rencontre avec le texte de Bataille. Au contraire ! Je les ai écrites pour accompagner ma lecture et je les mets en ligne en imagineant que ce travail en devenir pourra avoir quelque utilité (!!!). Elles seront donc périodiquement modifiées.1. Insuffisance du principe de l'Utilité classique
Aborder toute question au sujet de
la vie des sociétés
humaines par le biais de l’utilité est voué à l’impasse.
Rien ne peut définir ce qui est utile aux hommes.
On peut tenter de s’en sortir en faisant appel, de
manière injustifiée, à des principes,
au-delà de l’utile et du plaisir, comme l’Honneur et
le Devoir. Faire appel à l’Esprit « sert à masquer
le désarroi intellectuel de quelques personnes qui
refusent d’accepter un système fermé ».
Couramment, l’utilité, c’est l’utilité matérielle,
qui a théoriquement pour but le plaisir (sous forme
tempérée) au moyen de l’acquisition (ou
production), de la conservation des biens, d’une part — de
la reproduction et de la conservation des vies humaines d’autre
part.
« Dans l’ensemble, n’importe quel
jugement général sur l’activité sociale
sous-entend le principe que tout effort particulier doit être
réductible, pour être valable, aux nécessités
fondamentales de la production et de la conservation. Le
plaisir, qu’il s’agisse d’art, de débauche
admise ou de jeu, est réduit en définitive,
dans les représentations intellectuelles qui
ont cours, à une
concession, c’est-à-dire à un délassement
dont le rôle serait subsidiaire. La part la plus appréciable
de la vie est donnée comme la condition — parfois
même comme la condition regrettable — de l’activité sociale
productive. »
Pourtant, l’expérience personnelle d’un « homme
juvénile capable de gaspiller et de détruire
sans raison, dément chaque fois cette conception misérable » et
il sera sans imaginer que la société peut elle
aussi avoir « intérêt à des
pertes considérables […] conformément à des
besoins définis» qui
provoqueront dépressions,
crises et même « un certain état
orgiaque ».
Tel le jeune fils ne pouvant dire au père « ce
qui lui donne la fièvre », la société ne
se reconnaît que « le droit d’acquérir,
de conserver ou de consommer rationnellement mais elle exclut
en principe la dépense improductive » qui
pratiquement a lieu malgré tout.
« L’image
d’un monde paisible » ne
peut être pour l’homme, selon Bataille, « autre
chose qu’une illusion commode ».
Il n’est
donc peut-être pas insurmontable d’entrevoir
d’autres conceptions réglées sur des
modes qui ne soient pas serviles (à l’image
des rapports du fils au père).
Si l’on peut admettre « la
nécessité historique
d’images vagues et décevantes à l’usage
de la majorité », Bataille
refuse d’accepter
les « conditions
de misère » où elles
sont formées, comme limite à la connaissance.
Bataille mesure la difficulté pour faire entendre
une autre conception, « moins arbitraire » mais
condamnée à rester « ésotérique ».
Il dénonce ce qu’il nomme « une répulsion
maladive » qui n’est rien d’autre
que « la honte d’une génération
où ce sont les révoltés qui ont peur
du bruit de leur propre parole ». Il
termine ainsi : « Il
est donc impossible d’en tenir compte ».
Le lecteur est prévenu !
2. Le principe de la Perte
La perte comme principe, c’est
celui de la dépense
inconditionnelle, contraire au
principe économique de la balance des comptes (acquisition/dépense) ;
c’est, pour Bataille, le « seul rationnel au
sens étroit du terme ».
L’activité humaine ne peut être réduite
aux processus de production et d’acquisition.
Bataille va distinguer deux « parts » dans
l’activité de consommation.
La première, condition fondamentale pour la production et la conservation
de la vie, représente « les activités
qui servent de moyen terme à la production ».
La seconde est représentée par les dépenses
improductives auxquelles sont réservées
le nom de dépense. C’est : « le
luxe, les deuils, les guerres, les cultes, les constructions
de monuments somptuaires, les jeux, les spectacles, les arts, l’activité sexuelle
perverse (c’est-à-dire
détournée de la finalité génitale) représentent
autant d’activités
qui, tout au moins dans les conditions primitives, ont leur
fin en elles-mêmes ».
La perte
doit y être « la
plus grande possible » pour qu’elles prennent
leur « véritable sens ».
Bataille propose quelques exemples, empruntés, dit-il, à l’expérience
courante.
On va y retrouver à chaque fois, la question
du sacrifice.
3. Production, Échange et Dépense improductive
Ici, Bataille cherche à établir
les rapports qu’entretiennent la dépense,
comme fonction sociale, avec celles de la production/acquisition.
Et cela va remettre en question ce qui est de l’ordre
de la fin et ce qui est de
l’ordre de l’utilité.
Il va démontrer que la production et l’acquisition
ne sont que des « moyens
subordonnés à la
dépense »
(leur utilité n’est donc que relative),
et non une fin (comme le « souci
de conservation » pourrait
le laisser apparaître).
Ce système n’a jamais été remis
en question car ceux qui dépensent sont ceux qui
détiennent le pouvoir dont les misérables
ont été exclus et qui « n’ont
pas d’autre moyen de rentrer dans le cercle du pouvoir
que la destruction révolutionnaire des classes qui
l’occupent, c’est-à-dire une dépense
sociale sanglante et nullement limitée ».
C’est par le potlatch (terme
emprunté aux
Indiens du Nord-Ouest américain et pratique étudiée
par Marcel Mauss) en tant que « forme archaïque
de l’échange » que Bataille va
nous faire comprendre le caractère
secondaire de
la production et de l’acquisition par rapport à l’échange.
Traditionnellement, les économistes considèrent
que c’est le besoin
d’acquérir (le troc)
qui est à l’origine de l’échange.
Mauss a pu mettre en évidence dans les pratiques
du potlatch que c’est au contraire le besoin
de la destruction et de la perte.
« Les
moins avancées de ces peuplades
américaines pratiquent le potlatch à l’occasion
des changements dans la situation des personnes — initiations,
mariages, funérailles — et, même sous
une forme plus évoluée, il ne peut jamais être
disjoint d’une fête, soit qu’il occasionne
cette fête, soit qu’il ait lieu à son
occasion. Il exclut tout marchandage et, en général,
est constitué par un don considérable de
richesses offertes ostensiblement dans le but d’humilier,
de défier et d’obliger un
rival. La valeur d’échange du don résulte
du fait que le donataire, pour effacer l’humiliation
et relever le défi, doit satisfaire à l’obligation,
contractée par lui lors de l’acceptation,
de répondre ultérieurement par un don plus
important, c’est-à-dire de rendre avec usure. »
Mais le potlatch est aussi « destruction spectaculaire
de richesses » ce qui le rapproche du sacrifice
religieux (égorgement d’esclaves, incendies
de villages, …)
Le surplus qui intervient dans les opérations d’échanges
du potlatch ne doit pas être assimilé à l’« inflation
de crédit de la civilisation bancaire ».
La perte par le don est donc chargée d’une
valeur positive
qui assure au donateur, noblesse, honneur,
rang dans la hiérarchie. C’est aussi la manifestation
du « désir de détruire […]
reporté en partie sur le donataire ».
En référence à la psychanalyse,
Bataille rapproche le don du
déchet.
Quelles conséquences peut-on tirer de l’étude
du potlatch ?
4. La dépense fonctionnelle des Classes riches
Bataille va dénoncer la « haine
de la dépense » comme « la
raison d’être et la justification de la bourgeoisie ».
Il va exposer ce qu’est devenu l’échange avec l’essor de l’économie marchande.
L’échange s’est vraiment développé avec
le « progrès
des modes de production »,
lorsque sa subordination à une fin humaine (je comprends :
le besoin de perte démesurée inhérent à tout
groupe social. Cf. plus haut) a cessé d’être
immédiate. En effet, « le principe même
de la fonction de production exige que les produits soient
soustraits à la perte, tout au moins provisoirement. »
Le système tend à l'acquisition.
Dans le système d’économie marchande
règne une certaine stabilité : « les
fortunes ne sont plus situées sur un tapis de jeu » :
c’est par cette stabilité même, non
compromise, qu’elles demeurent
soumises au régime
de la dépense improductive même si les composantes élémentaires
du potlatch primitif toujours vives ont été débarrassées
des formes de rivalité ouverte et de lutte.
« Quelques que soient ces atténuations,
la perte ostentatoire reste universellement liée à la
richesse, comme sa fonction dernière ».
La perte est donc considérée par Bataille
comme « l’obligation fonctionnelle de
la richesse », « fonction sociale ».
Dans les « sociétés sauvages,
où l’exploitation de l’homme par l’homme
est encore faible, les produits de l’activité humaine
n’affluent pas seulement vers les hommes riches en
raison des services de protection ou de direction sociales
qu’ils passent pour rendre, mais aussi en raison
des dépenses spectaculaires de la collectivité dont
ils doivent faire les frais. »
Cette obligation a disparu avec le déclin du paganisme. « On
a pu dire que le Christianisme avait individualisé la
propriété, donnant à son possesseur
une disposition entière de ses produits et abrogeant
sa fonction sociale », dont l’aumône
et les donations ont été des formes substitutives.
Aujourd’hui, la rivalité est cachée et se développe dans l’obscurité. La
bourgeoise étale sa richesse « derrière
les murs, conformément à des conventions
chargées d’ennui et déprimantes ».
Avec la dépense spectaculaire ont disparu également
la « générosité, la noblesse ».
« En tant que classe possédant la richesse,
ayant reçu avec la richesse l’obligation de
la dépense fonctionnelle, la bourgeoisie moderne
se caractérise par le refus de principe qu’elle
oppose à cette obligation. Elle s’est distinguée
de l’aristocratie en ce qu’elle n’a consenti à dépenser
que pour soi […] en dissimulant ses dépenses…»
Bataille met en rapport « ces conceptions humiliantes
de la dépense restreinte » de la bourgeoisie
avec « les conceptions rationalistes qu’elle
a développées à partir du XVIIe siècle » et
qui vont « dans le sens d’une représentation
du monde strictement économique, au sens vulgaire,
au sens bourgeois du mot. La
haine de la dépense
est la raison d’être et la justification de
la bourgeoisie : elle est en même temps le principe
de son effroyable hypocrisie. »
« Contre eux, la conscience populaire est réduite à maintenir
profondément le principe de la dépense en
représentant l’existence bourgeoise comme
la honte de l’homme et comme une sinistre annulation. »
5. La lutte de Classes
Comment Bataille en arrive-t-il à la lutte de classes ?
Il va la qualifier de « déchaînement
inouï » où l’on retrouve ce
qui reste du « tumulte somptuaire vivant » tandis
que les « modes de dépense traditionnels » se
sont atrophiés.
En s’en remettant à une « raison
qui tient des comptes » la bourgeoisie n’a
développé qu’une « mesquinerie
universelle ». La vie humaine agitée
par ses « besoins irréductibles » ne
se retrouve que dans « l’effort de ceux
qui poussent à leur extrémité les
conséquences des conceptions rationalistes courantes ».
Mais le ver est dans le fruit. On peut repérer dans
le potlatch ce qui va porter à la lutte
de classes. Dans la rivalité du potlatch,
Bataille voit une façon, pour les riches,
de s’éloigner de « la
nature des hommes misérables ».
Cela « ouvre
la voie » à l’esclavage, héritage
que l’on retrouvera dans le prolétariat.
« Ainsi,
la dépense, bien qu’elle
soit une fonction
sociale [Cf.
plus haut],
aboutit immédiatement à un
signe agonistique [rivalité et
lutte] de
séparation,
d’apparence anti-sociale. »
Dans son souci de rationalité la société bourgeoisie « n’accepte
pas sans protester une division qui semble destructive
de l’homme lui-même, mais elle est incapable
de pousser la résistance plus loin que la négation
théorique ».
Si le mot « égalité » est
inscrit sur les murs, c’est surtout parce que les
maîtres veulent « marquer qu’ils
ne participent en rien à l’abjection des hommes
employés par eux ».
On ne peut disjoindre ce que recherche le patron par des
modes de dépense « qui
tendent à l’élever
bien au-dessus de la bassesse humaine, et la bassesse
elle-même »
car c’est de celle-ci qu’il tire ses propres modes
de dépense.
Les efforts bourgeois pour l’amélioration
du sort de l’ouvrier ne sont que lâcheté et « impuissance — par épuisement — à pousser
jusqu’au bout un processus somptuaire ».
Toujours dans cette dialectique des forces opposées,
Bataille énonce que la « perte de l’homme
pauvre »
neutralise le
« plaisir
de l’homme riche » pour
aboutir à une
sorte d’ « indifférence
apathique ».
En vue de maintenir cet « état
neutre » il
va y avoir compensation d'« une
partie de la dépense qui engendre l’abjection
par une dépense nouvelle tendant à atténuer
les résultats de la première » — et
la classe ouvrière peut même parfois
se trouver impliquée dans cette compensation.
Il n’empêche que l’« atténuation
de la brutalité des maîtres — qui ne
porte d’ailleurs pas tant sur la destruction elle-même
que sur les tendances psychologiques à la destruction — correspond à l’atrophie
générale des anciens processus somptuaires qui
caractérise l’époque moderne ».
La lutte de classes devient « la forme la plus
grandiose de la dépense sociale ». Reprise
pour le compte des ouvriers, elle peut menacer l’existence
des maîtres.
6. Le Christianisme et la révolution
Il est utile, je crois, d'associer à la
lecture de cette sixième
partie les extraits du livre de Gilles
Deleuze consacré à Michel
Foucault que l'on
peut trouver sur la page " À TABLE
" de ce site.
Chez Bataille comme chez Foucault il est question
de forme, de forces, de fonction et de sens. Toutes
ces notions participent à notre
recherche, dans la multiplication des limites, des repères
pour faire avancer notre chemin.
Lorsqu'on se décide à ouvrir, il est
de l'évidence que l'on n'ouvre pas seulement le cinéma.
Les « misérables » ont
trouvé,
dans certaines circonstances historiques, des moyens pour lancer
des « défis
exaspérés » aux riches
dans des potlatch,
des échanges institués en dehors de toutes formes
rituelles. Une issue « exceptionnelle » a
été ouverte à ces « convulsions
spasmodiques » par « le
désespoir
religieux qui
en était l'exploitation sans réserve. »
Pour Bataille, le culte résume
la haine sans mesure qui divise les hommes et « assume
la fonction totale d'opposition des forces de sens contraires ».
[On a déjà vu que cette façon
de penser des oppositions de forces en sens contraires parcours tout le
texte mais ici elle s'affirme.]
Ce qui donne son sens au Christianisme, c'est une « orgie
agonistique mentale pratiquée au dépens de la
lutte réelle. »
« Mais l'humiliation chrétienne
n'est qu'un épisode dans la lutte historique des ignobles
contre les nobles, des impurs contre les purs. »
Au milieu de cette agitation, seul le mot Révolution
est porteur « des
promesses qui répondent
aux exigences illimitées des masses… »
« La lutte de classe n'a qu'un terme possible : la perte
de ceux qui ont travaillé à perdre la « nature
humaine ».
Quelle que soit l'issue possible à ces convulsions,
l'extase religieuse des chrétiens et le mouvement ouvrier,
convulsions parmi les convulsions, doivent être
considérés « comme
une impulsion décisive contraignant la société à utiliser
l'exclusion des classes les unes par les autres pour réaliser
un mode de dépense aussi
tragique et
aussi libre qu'il
est possible, en même temps pour introduire des formes
sacrées si
humaines que les formes traditionnelles deviennent comparativement
méprisables. C'est le caractère tropique de tels
mouvements qui rend compte de la valeur humaine totale de la
Révolution ouvrière, susceptible d'attirer à soi
avec une force aussi
contraignante que celle qui dirige des organismes simples vers
le soleil. »
7.
L'Insubordination des faits matériels
Du soleil, on passe à l'univers et à la matière …
La vie humaine, la vie sur terre : « telle
qu'elle a lieu en fait sur un globe isolé dans l'espace
céleste, du jour à la nuit, d'une contrée à l'autre »
ne peut être limitée aux systèmes fermés
auxquelles des «conceptions raisonnables » voudraient
l'assigner.
La vie même c'est « l'immense
travail d'abandon, d'écoulement et d'orage » dont
les « forces
ordonnées et réservées » vont
se libérer et se perdre pour des « fins
qui ne peuvent être assujetties à rien dont il
soit possible de rendre des comptes ».
La vie, c'est donc l'insubordination la
plus absolue. C'est par cette insubordination qu'un rapport va pouvoir s'établir avec les choses matérielles,
dont la splendeur est elle-même sans condition (la « splendeur
des choses matérielles »
ne dépendrait de rien et serait donc sa propre fin.
C'est ce que, pour l'instant, je comprends).
Universellement, les hommes sont engagés dans des
processus de
dépenses
inaltérables malgré la variété de
leurs formes (donc
indépendants de la forme
? c'est moi qui
pose la question) et dont le principe est la perte.
Ce
qui anime les hommes, individuellement (Bataille dit « isolément »)
ou en groupe, c'est une certaine excitation maintenue à un
niveau moyen constant. Bataille définit les « états
d'excitation » dans leur « forme
accentuée » comme
des « impulsions illogiques » rejetant
les « biens matériels ou moraux qu'il aurait été possible
d'utiliser rationnellement ».
Cela entraîne des pertes, mais ces pertes elles-mêmes
sont liées à la « création
de valeurs improductives » comme
la gloire qui
ne va pas sans la déchéance.
Le processus est le même (cf. plus
haut : n'est pas altéré) même si les
formes sont très
différentes — « tantôt
sinistres, tantôt
éclatantes ». Bataille va donner deux cas en exemple :
celui de la « fille
perdue » et celui
de la « dépense
militaire ».
Quoi qu'on fasse on n'y échappe pas.
Comme par un jeu avec les mots Bataille passe de la déchéance au déchet et ainsi à la matière, plus
précisément la « matière universelle » (Cf.
le soleil, plus haut).
La perte réalisée dans la dépense improductive,
considérée comme le déchet de l'activité,
entraîne
l'homme dans le « jeu
qualitatif » de
la matière
universelle. En définissant ce qu'il
entend par « matière » Bataille
veut faire apparaître les qualités à partir
d'un certain jeu : il faut se représenter un rapport entre
la matière et
l'économie
universelle à l'image
de ce que le crime représente
par rapport à la
loi.
(il me semble reconnaître ici ce qu'on appelle un
rapport d'analogie, mais mon ignorance dans ce domaine est
très
profonde !)
La
matière
serait ainsi définie par la « différence
non logique » établie
dans ces rapports.
Cette valeur improductive qu'est
la gloire ne peut
être distinguée de celle de la matière
en tant que ce qui les qualifie est l'insubordination (cf.
plus haut « la
splendeur sans condition des choses matérielles »).
Le texte se termine par une sorte de syllogisme :
(Texte commencé le 28 juillet 2007. Dernière mise en ligne : 2 août 2007. Corrigé le 16 septembre.)
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