Ouvrir le cinéma

[Enseigner avec le cinéma. Rencontre avec la pédagogie institutionnelle]

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II-La rencontre avec la Pédagogie institutionnelle

Mon exposé doit beaucoup à la fréquentation de quelques enseignants (école et collège), membres du groupe de Pédagogie institutionnelle de L’Ile-de-France. J’ai participé à leurs séances de travail pendant un peu plus d’un an, entre 2002 et 2004. C’est grâce à cette rencontre — qui fut une vraie rencontre, que j’ai pris connaissance des recherches de Pierre Johan Laffitte, auteur d’une thèse de doctorat sur la Pédagogie institutionnelle soutenue à l’université de Paris IV.

On peut trouver sur le site, le texte de présentation de sa thèse, sa « position », comme on dit, intitulée « Le sens du précaire », texte qui nourrit tout ce qui suit et que je vais citer abondamment.

Le travail de thèse de ce chercheur est une analyse du discours porté par le mouvement de la Pédagogie institutionnelle. Il s’agit d’une approche transdisciplinaire au carrefour entre la philosophie, la sémiotique, la psychanalyse, la linguistique.

Cette rencontre avec la « P.I. » n’aurait pas eu lieu sans la fréquentation assidue du séminaire mensuel de Jean Oury à Paris. Jean Oury, psychiatre, directeur de la clinique de la Borde, ardent poète de la Psychiatrie et Psychothérapie institutionnelle, frère de Fernand Oury, fondateur de la Pédagogie institutionnelle…

Pour un rappel de la situation actuelle des liens entre le monde du cinéma et celui de l’école, j’ai consulté un autre travail universitaire, relevant lui de la sociologie, celui de Paola Martini, membre du groupe Ouvrir le cinéma pendant deux ans et qui a présenté un travail de maîtrise sur le dispositif École et cinéma. Cette maîtrise, intitulée « École et cinéma : penser la rencontre » est également disponible en fichier Pdf, sur le site d’ Ouvrir le cinéma. [retour]

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